Hans-Ueli Vogt, candidat à la démission du Tribunal fédéral Ueli Maurer, estime qu’il est juste que l’arrondissement de Zurich soit représenté au Tribunal fédéral. La première raison est l’importance économique de Zurich, dit-il.

Le canton de Zurich est aussi la première partie du bilan financier, en plus de l’interview publiée dimanche par SonntagsBlick du premier conseiller national UDC Zurich, rappelant à un moment donné que le canton de Berne en est le principal bénéficiaire.

N’étant pas membre du cercle restreint de la section zurichoise de l’UDC et ne faisant pas partie de l’aile « blochérienne », M. Vogt dit qu’il n’est pas le représentant d’une tendance, mais un candidat pour des croyances et des valeurs qui correspondent à ceux-ci. de la fête.

Avec environ 30% des voix, l’UDC n’est pas seulement soutenue par les ruraux, a-t-il noté. « Parmi les électeurs, il doit y avoir beaucoup de citadins et de banlieusards qui préfèrent aller au gymnase qu’au pâturage ou à la grange. » Avec son adversaire bernois de Kandersteg, le conseiller d’Etat Albert Rösti, « [nous] représentons toute la circonscription » du parti, déclare M. Vogt.

Quand il dit qu’il s’inspire de gens qui ont montré l’ampleur de la défaite, comme l’ancien joueur de tennis suisse Roger Federer, il dit qu’il n’a pas peur d’eux. « Seuls ceux qui n’ont pas peur de la défaite peuvent se battre librement », affirme-t-il.

Outre M. Vogt, quatre autres personnes se sont portées candidates pour succéder à Ueli Maurer au Conseil fédéral. Il s’agit du conseiller d’Etat bernois et ancien président de l’UDC Albert Rösti, de la conseillère d’Etat de Nidwald Michèle Blöchliger, du directeur financier de Zoug Heinz Tännler et du conseiller d’Etat bernois Werner Salzmann. Le groupe parlementaire UDC aux Chambres fédérales choisira son ticket le 18 novembre en raison des élections qui se tiendront le 7 décembre.

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