Tous les jours pendant les vacances, les recommandations du ministère français de la culture et pourquoi pas d’idées cadeaux de Noël.
Cela fait bientôt 40 ans que le groupe Run DMC vante la qualité des chansons d’Adidas Superstar, ce qui a provoqué à cette époque un boom des ventes dans la communauté noire urbaine, à la grande surprise des patrons de la marque allemande. Et depuis cette période, son succès est indéniable. Désormais, les baskets sont un énorme phénomène de société et de marché, représentant en France, par exemple, une paire de chaussures vendue sur deux !
Une « Bible » des sneakers
Le journaliste François Chevalier, auteur de 1000 Deadstock sneakers publié aux Éditions du Chêne, se souvient de cette histoire bien particulière : « Le point de bascule, je pense, c’était vraiment le début des années 2000 quand les marques ont commencé à collaborer avec des petits labels de streetwear ou même avec les plus gros labels comme Supreme ». qui ont commencé à faire des paires en édition limitée. Couplé avec des designers comme Marc Jacobs, tout cela contribue à faire grimper les prix », dit-il.
Imaginez travailler avec Larry Deastock, une boutique de revente de sneakers devenue culte aussi bien en ligne que dans les magasins physiques à Paris, un book listing, avec photos correspondantes, un millier de modèles, où l’on retrouve les plus cités, Stan Smith, The 90’s Air Max, et bien sûr les Air Jordans, sont consacrés à de longs chapitres.
Avec la chaussure, on retrouve les cotes, la valeur, de quoi inspirer les collectionneurs et autres, mais aussi des interviews, des anecdotes, et pour les amateurs de vintage, la période de publicité de ces baskets telles qu’elles apparaissent dans les magazines.
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