La municipalité a voté des subventions pour la réalisation de nombreux projets, dont l’aménagement de la zone pour les caravanes.
Les demandes de subventions pour les projets de travaux pour 2023 ont été confirmées à l’unanimité à l’ordre du jour du dernier conseil municipal. A savoir, il y a de la place pour les caravanes avec 49 emplacements avec une estimation de 289 807 euros HT.
Compte tenu des différentes subventions et fonds de soutien attendus, la commune devrait encore débourser la somme de 72 000 euros (soit 25%). Pour le projet de parc municipal, fitness et aire de jeux sur la parcelle, une somme totale de 147.485 euros HT a été estimée, avec le montant restant d’indemnisation de 28% pour la commune, soit 41.200 euros.
Après avoir enterré les lignes, il faut restaurer les réseaux, rue du Gine, du tronchet et champ d’augeaon. Un projet qui s’élèverait à 183 000 euros, avec les frais restants de 20 % (30 000 euros). La maire Hélène Morel-Bailly a précisé : « Ces dossiers de demande de subvention doivent être déposés avant le 31 décembre 2022, mais dans le contexte actuel, nous ne garantissons en aucun cas que nous recevrons des aides de l’État ».
Une planche dans un endroit trop éloigné
Après l’achèvement des travaux sur le parking du rond-point, l’assemblée a décidé du nom que cet espace sera donné. A l’unanimité, et en accord avec le comité local de la Fnaca, elle deviendra la Place du 19 mars 1962, qui honorera le cessez-le-feu en Algérie.
« Nous devons étudier une autre demande concernant cet espace. En effet, j’ai eu une demande urgente du Comité Français de Commémoration qui souhaiterait déplacer la plaque située sur le site des Tilleuls, ce qui ne dérange pas non plus les membres ». Le conseil a accepté la demande d’un souvenir français avec 10 voix pour, 4 abstentions.
Un autre sujet a également été évoqué, à savoir la possible préservation de la zone archéologique. « Nous avons eu une réunion à la préfecture. Tout le monde est favorable au maintien de cette zone, mais personne ne veut la financer ».
Après discussion et sur proposition de l’architecte du Bâtiment de France, une étude préalable sera demandée au CAUE.
De notre correspondante Pascale Négri