Pour ce week-end, voici le bilan des collections Haute Couture printemps-été 2023 de Schiaparelli, Dior, Chanel, Viktor et Rolf, Jean Paul Gaultier, Rabih Kayrouz, Imane Ayissi, Fendi… Mais aussi des chansons, de l’émotion, de l’incompréhension.

1. Les robes de Renée

Renée, qui était chauffeur de taxi, a disparu il y a deux ans. Eh bien, ses robes ont été reprises par les stylistes de Moda Povera et elles renaissent (et Renée renaît aussi un peu), transformées en objets sophistiqués et précieux, utilisés par le mannequin le plus chic du monde : Axelle Doué. Tout cela sort du cerveau décidément ultrasensible d’Olivier Saillard.

2. La danse de l’atelier Haute Couture

Toute l’équipe sur le podium après le show en pleine délectation avec « Happy » de Pharell Williams. La sympathie de celui-ci!

3. Le terme « En laine quelques fois »

Dites « mélange de laine ». Le génie poétique d’Olivier Saillard imprègne tous les textes qui accompagnent son sixième recueil Moda Povera.

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4. La chanson « Barayé »

C’est cette chanson écrite et chantée par Shervin Hajaipour qui est devenue l’hymne de la révolution iranienne. Haider Ackermann, qui a été cette année le créateur choisi pour créer la collection Jean Paul Gaultier Haute Couture, a voulu profiter de l’immense écho que ce défilé a toujours pour intégrer cette musique. De plus, une collection inspirée du look plus sobre de Jean Paul Gaultier. VS

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