Publié
le 23/09/2022 à 19h38, mis à jour le 23/09/2022 à 19h38.
Ces dernières années, la tendance sportswear américaine a été peaufinée au défilé de Milan. Après quelques errances, la créatrice renoue avec son premier amour : le vêtement.
A la sortie de l’émission Boss, un collègue s’est approché de nous : « Mais, ils ne sont pas obligés de porter des survêtements maintenant ? » Il est vrai que la marque allemande a beaucoup parlé, depuis la pandémie, du changement de stratégie, justifiant que la veste est plus ou moins finie, que la nouvelle génération travaille sur les t-shirts et que le jogging est le nouveau manteau. ..
Quand, jeudi soir, les invités du défilé prenaient place dans les gradins du vélodrome de Milan (l’ancien temple des cyclistes désormais voué au football américain, plutôt un symbole), ils s’attendaient donc à voir, comme la saison dernière, des sweats siglés . et casquettes. Non. Malgré le décor, la collection renoue avec ce que Boss connaît depuis près d’un siècle (on le fêtera dans deux ans) : le costume.
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Alors, bien sûr, le costume de banquier classique porte une taille grande (par la « boss » du défilé Naomi Campbell), les manches du pull sortent négligemment de la veste…
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